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mardi 8 janvier 2019

RIC HOCHET








            Je n'aimais pas tellement, dans Tintin, les aventures de Ric Hochet, par Tibet et Duchâteau. Le personnage était bellâtre, blondasse comme les photos qu'on voyait chez les coiffeurs pour Pantène ou Petrol Hahn, et ses aventures fadasses. Et puis il y avait ce nom ridicule. C'était la fin du journal Tintin. J'étais déjà passé à Pilote, puis redécouvrais Spirou. Tout m'était hochet.


Comme par hasard l'inventeur de ce pétrole est suisse














1 commentaire:

  1. En une certaine contrée l'avenir de la race chevaline paraissait fortement compromis. En effet, pouliches, hongres, palefrois, destriers, haquenées, juments de brasseurs tout aussi bien (dont mon grand-père paternel invoquait l'arrière-train puissant comme l'étalon, si je puis dire, de l'anatomie de certaines femmes, ce qui serait aujourd'hui bien fâcheux), bref tous ces bigadins, tréteaux, canassons, etc., cédaient au vertige d'une falaise et s'écrasaient au bas de cette roche, comme au pied de celle de Solutré, mais cette fois sans que les chasseurs néolithiques (ou paléo, ou méso, mais ici c'est secondaire) y fussent pour quelque chose. Le salut vient d'Ibérie; un asiniculteur eut l'idée de vendre à prix d'or un de ses sujets aux haras harassés. Ce nouveau venu avait le braiement charismatique et efficace. On s'aperçut bien vite avec un grand soulagement que - oui, Pedro l'âne freine la chute des chevaux.

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