Pages

lundi 30 mai 2016

A plea for unifying Britain and the Continent

                                                       Trinity College , Cambridge 

        Dans son Histoire de la littérature anglaise, tome V (1863)  parlant de Stuart Mill et du "positivisme anglais" , Taine se livre à une analyse de la nature fondamentalement "anglaise" de la Logique de Mill. Il a, nous dit il "décrit l'esprit anglais en croyant décrire l'esprit humain".
        Cet esprit positif "retranche la connaissance des premières



Taine propose une synthèse de l'esprit allemand et de l'esprit anglais, par l'usage d'une faculté moyenne entre la raison a priori des Allemands et les généralisations inductives des Anglais, qu'il appelle l'abstraction. Elle permet de faire se rejoindre le particulier et le général, de trouver les élements premiers des choses de voir d'une


 Ayant produit sa synthèse le natif de Vouziers conclut :



   Après cette ascension spéculative, le résident de Talloire -  dont sa nièce* nous disait qu'il "faisait la planche sur les rives du lac d'Annecy" et quelle ne "voyait de lui alors qu'un masque presque solennel flottant, les yeux clos, sur l'eau bleue, "faisant la planche " -  continue par une description d'une matinée à Oxford : "Nous sortîmes et comme  arrive toujours en pareil cas, chacun des deux avait fait réfléchir l'autre, et


  


            Champs et orties en fleur, Cambridge


* Mme Saint-rené Taillandier , Mon oncle Taine , Plon 1942.  Cette nièce écrivit également des livres sur la Princesse des Ursins, sur la Mariage de Louis XIV, sur Madame de Maintenon et Racine. 
 

26 commentaires:

  1. Le texte de Taine nº3 fournit un bel exemple de nationalisme ou ethnocentrisme philosophique !
    Avez-vous sous la main un exemple de nationalisme inversé où philosophie française équivaudrait au pire ?

    RépondreSupprimer
  2. J'trouve pas.

    Il tient les Français comme intermédiaires dans l'abstraction entre les Anglais et les Allemands. Etre un milieu, c'est pas être supérieur. C'est être tempéré.

    Une génération plus tard Benda soutiendra que les Français est nécessairement le modèle du bon universel. Et une génération plus tard encore, dans les années 20, les Français en pinceront pour l'abstrait à l'allemande, et on n'en est pas encore sortis ( tant du moins, aussi, que le président en exercice confond Verdun avec Berlin)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Peut-être avez-vous en tête d'autres œuvres, mais s'agissant de Benda, en témoignent, par exemple, les lignes suivantes (publiées en 1935 dans Délice d'Eleuthère, Gallimard) :"La guerre est fatale. La France gêne le monde entier avec son entêtement à des valeurs dont il ne veut plus. Maistre dit que le France est une provocation à toute l'Europe. Il le dirait encore. Les autocrates d'Allemagne et d'Italie pensent nécessairement dans leur cœur, comme les rois d'autrefois :" La France est un mauvais exemple pour nos sujets. Notre existence exige qu'elle disparaisse. Delenda Carthago." Son entêtement à des valeurs dont le monde ne veut plus. Dont il n'a jamais voulu. L'Europe n'est pas "revenue" des idéaux de justice et de liberté. Elle n'y est jamais allée. Elle ne "retourne" pas à la religion de la force. Elle ne l'a jamais quittée. La France est seule avec son platonisme comme elle fut toujours..." (pp.38-39)

      Supprimer
    2. Benda ici ne dit rien des Anglais. Il les aimait, comme Taine. Mais je ne crois pas qu'il eût voulu sacrifier la liberté abstraite et l'abstraction française au particularisme et au common sense britannique.
      Mais on pourrait douter que la France soit platoniste. Dans le Grands Moments de ce pays, Clovis, Louis XI , Louis XIV, la Révolution, Napoléon, Clémenceau, de Gaulle ( après qu'y eut -il ? Rien), il y a peu de platonisme.

      Supprimer
    3. Dans ce cas, comment faut-il entendre ce que vous appelez le "bon universel" dont, selon Benda, la France serait "nécessairement" le modèle ?

      Supprimer
    4. Eh lisez " Essai historique sur la volonté des français d'être une nation",
      par exemple.
      C'est cette France abstraite dont Mona Ozouf dit tant de mal ( Composition française)

      Supprimer
    5. Le titre exact est Esquisse d'une histoire des Français dans leur volonté d'être une nation, Gallimard, 1932

      Supprimer
    6. Je vois que j'ai affaire à un expert, merci

      Supprimer
  3. Le problème est surtout d'enraciner des orientations intellectuelles ou philosophiques, par ailleurs fort sommairement brossées, dans de prétendus tempéraments nationaux. Les "Anglais", les "Allemands, les "Français", ce sont encore des abstractions et, à ce compte, on se demande si le français Taine tient bien le milieu entre Anglais et Allemands. Ce milieu-là qui n'a, bien entendu, rien à voir avec celui que Taine associe à la race et au moment, les deux autres piliers de sa méthode...
    En revanche, la matinée à Oxford est exquise et c'est la partie la plus convaincante de l'extrait proposé !

    RépondreSupprimer
  4. Si on lit l'Histoire de la littérature anglaise, il me semble qu'on a un portrait complet des caractères des nations. Ici c'est un extrait. Mais je trouve que ce n'est pas mal vu . L'anglais est à la fois positiviste, amateur de faits et de détails, ET spéculatif et abstrait, rêveur et romantique. Je crois, comme Taine et avant lui Hume, qu'il y a des "caractères des nations". Je ne sais pas trop si ce serait encore vrai aujourd'hui. Mais là l'époque de Taine, les Européens n'avaient pas encore tellement émigré, sauf aux Etats Unis, et les populations fixaient encore certains stéréotypes. Mais on parlait encore les langues des provinces dans chaque pays. Bécassine n'est devenue française qu'en 1914.

    RépondreSupprimer
  5. Ce n'est pas exactement le sujet, mais je verse cette pièce au dossier :
    " Aux sots et aux coquins qui pour nous asservir mieux tentent de dresser la France contre l'Angleterre, nous citerons pour conclure cette réponse adressée en son temps par R. Kipling aux gallophobes de Grande-Bretagne :« Tout ce qui s'est développé de valable en fait de culture humaine depuis la chute de Rome m'apparaît comme produit par nos deux pays : les systèmes les plus récents n'étant que brigandage et sentant ou le tyran ou le parvenu. Si la civilisation doit continuer à vivre, son avenir repose entre nos mains unies »... "
    Argonne (Jacques Debû-Bridel) "Angleterre (D'Alcuin à Huxley)" éd. de Minuit clandestines 1940 — ouvrage d'une anglophilie sans faille, en des temps où il ne pouvait (plus) s'agir pour la France de faire la synthèse entre l'esprit anglais et l'esprit allemand.

    RépondreSupprimer
  6. Ce qu'il y a de sûr c'est que de Gaulle n'est pas allé s'exiler en Allemagne et que quand il a quitté le pouvoir il n'est pas allé faire pélerinage à Weimar!
    Taine admirait anglais et allemands ( ce qui n'était pas le cas de Renan, qui ne jurait que par les Allemands) . Mais tous deux furent complètement dévastés quand leur Prusse chérie leur envoya ses uhlans.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. N'oublions pas La Fontaine, anglophile à une époque dominée par Boileau et le très francocentriste classicisme (dans la fable du "Renard anglais")
      "... Les Anglais pensent profondément,
      Leur esprit en cela suit leur tempérament.
      Creusant dans les sujets et forts [d'expériences,
      Ils étendent partout l'empire des sciences. "

      Supprimer
  7. Taine a écrit son premier livre sur La Fontaine...
    Mais il faudrait aussi considérer les anglais francophiles. En littérature ce n'est pas difficile d'en trouver, mais en philosophie, je serais heureux d'en avoir une petite liste....

    RépondreSupprimer
  8. Dans cette "petite" liste (que je suis loin de pouvoir établir, même à cette modeste condition), nous trouverions certainement le bon Hume qui dans l'un de ses essais, justement intitulé De l'essai, parle d'"une nation voisine, également réputée pour le bon goût et la galanterie qui y règnent, les dames sont d'une certaine manière, les souveraines du monde de l'érudition comme celui de la conversation..". On ne trouve pas la moindre trace d'ironie dans cette "francophilie" pas plus que dans ce "féminisme" dont les spécialistes pourraient sans doute montrer les limites en relevant les inévitables préjugés de l'époque sur la nature du beau sexe. Mais Hume ne s'en tient pas à la galanterie : dans De la balance du pouvoir (1752), il écrit :" Nous voyons là que plus de la moitié de nos guerres avec la France, et toutes nos dettes publiques, sont davantage l'effet de notre véhémence que de l'ambition de nos voisins..." Sans doute cette francophilie s'affiche avec une autre tonalité lorsqu'il s'agit pour Hume de plaider en faveur du libre-échange : dans De la jalousie du commerce, il termine son essai en écrivant:" Je ne crains pas d'avouer que, non seulement en tant qu'homme, mais aussi en tant que sujet britannique, je fais des vœux pour que le commerce de l'Allemagne, de l'Espagne, de l'Italie et de la France elle-même soit florissant."
    L'objection prévisible qu'on peut faire à ce relevé sommaire est qu'il ne concerne pas à proprement parler l'esprit philosophique et les mérites comparés de sa nature supposée dominante dans l'une et l'autre des deux nations...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Hume est écossais , pas anglais!
      voyez son essai sur les caractères des nations!
      il fustige les anglais

      Supprimer
    2. Quand, dans De la balance du pouvoir, Hume écrit ""NOS" guerres avec la France", s'exprime-t-il en tant qu'écossais ?
      Dans l'histoire de la littérature (ou de la philosophie) anglaise, l’Écosse est-elle perçue comme une "nation" distincte ?
      Merci pour votre éclairage.

      Supprimer
    3. Je vous renvoie juste aux Essays de Hume : on the causes of the characters of nations, où il s'exprime comme Ecossais. Mais bien sûr l'auteur de l'Histoire d'Angleterre se plaçait souvent du point de vue des Isles. Il pensait certainement, comme tout ecossais, l'Ecosse comme une nation distincte. Sans quoi eut il eu sa statue à Edimbourg ?

      Supprimer
  9. Puisqu'il est question de l'ouvrage de Taine, La Fontaine et ses fables (Hachette & Cie, 1895), on
    trouve bien, dans sa conclusion générale, l'idée d'une synthèse harmonieuse possible dans un même
    homme entre faculté d'abstraction et sensibilité aux faits particuliers, mais cette réconciliation n'est pas rattachée par Taine au « terrain national », comme on l'attendrait de sa méthode, mais uniquement au statut d'artiste ou de poète, ou encore, si l'on préfère, à son génie, sans considération de nationalité. Il écrit : « [L'artiste ou le poète] est à la fois philosophe et peintre, et il ne nous montre jamais les causes générales sans les petits faits sensibles qui les manifestent, ni les petits faits sensibles sans les causes générales qui les ont produits. (…) Il est à la fois aux deux extrémités, dans les sensations particulières par lesquelles l'intelligence débute, et dans les idées générales auxquelles l'intelligence aboutit, tellement qu'il en a toute l'étendue et toutes les parties, et qu'il est le plus capable, par l'ampleur et la diversité de ses puissances, de reproduire ce monde en face duquel il est placé. » (pp.345-346)

    RépondreSupprimer
  10. Si vous lisez bien Taine, il dit que l'artiste ne nous montre pas , dans ses écrits , les causes générales seules - les morales des fables - et il les attache aux faits sensibles ( les histoires). En bref il montre des exempla, pas des lois. Mais cela n'implique nullement que ces causes et ces petits faits ne puissent être manifestés dans leur rapport par le lecteur ou le critique. Cela n'implique pas non plus que la manière dont l'artiste fait se réunir les lois et les faits n'exemplfie pas , à un niveau plus elevé d'abstraction que seul le critique cette fois peut exposer, des causes générales, qui constituent ce que Taine appelle un "caractère dominant" , associé à un certain type de milieu, de race, et de moment.

    RépondreSupprimer
  11. À son époque, Hyppolite Taine ne faisait rien comme tout le monde. Il avait claqué la porte à l'agrégation de philo, par refus de l'éclectisme, avant qu' elle ne soit supprimée par l'Empire autoritaire, puis rétablie par Victor Duruy. Ce dernier ne savait d'ailleurs pas trop où ranger la philosophie, dans les lettres ou dans les sciences, et il finit par se décider pour les lettres.
    Taine choisit la filière doctorante et il enseigna le droit à Oxford. Il était trop tôt pour rencontrer les philosophes analytiques, mais on range souvent Taine dans les pragmatistes. Il écrivit un roman. en s'inventant un double littéraire, et il se passionna pour l'histoire de nos ancêtres les Gaulois. Il eut aussi la curieuse idée de faire entrer le particulier de la pensée dans des universaux ethniques.
    Ce sanglier des Ardennes préférait la Savoie à la ligne bleue des Vosges. Il emmenait sa nièce faire du pédalo sur le Lac d'Annecy, d'où l'on aperçoit l'impressionnante citadelle de la famille de Menthon, dans un lieu escarpé.
    Il y aura un romancier savoyard, disciple de Paul Bourget, et qui sera l'auteur français le plus lu dans le monde, Henry Bordeaux. Le créateur des Roquevillard eut un grand lecteur, le Général De Gaulle, qui associait comme lui le bien commun de la République à l'humanisme chrétien. C'était cela, la philosophie du Général. De Bordeaux, je lus "Le flambeau renversé" paru en 1961, livre à contre-courant de la production littéraire de l'époque, totalement antimoderne.

    RépondreSupprimer
  12. Je me demande qui range Taine dans les pragmatistes. Il ne l'est pas pour un sou.
    Je ne vois pas son lien avec Henri Bordeaux à part la Savoie et le fait que Taine finit comme réac à l'Acadéfraise pour cause de détestation de la Révolution française, trente ans après avoir effarouché Monseigneur Dupanloup. De fait on m'a donné plusieurs fois à la distribution des prix des livres de Henri Bordeaux dans la collection Nelson pour enfants, et jamais de livres de Taine. Cela ne valait pas le coup d'avoir l'accessit de latin.

    RépondreSupprimer
  13. Un accessit en latin ? C'est tout ? La distribution des prix dans le vieux théâtre italien d'Orléans, c'était du grand n'importe quoi.
    Le livre de Taine sur nos origines gauloises avait pour but de définir une identité bien française. Dans le contexte de la colonisation et des rivalités territoriales entre nations européennes, l'esprit français se racialisait et s'ethnicisait.
    L:'un de nos amis demandait un exemple de livre qui présenterait la pensée française comme tout le contraire d' un universel à suivre. Il y a eu "L'idéologie française" de BHL !
    La culture française avait tellement imprégné la Savoie, qu' elle fut rattachée à la France. S'il existe une loi des compensations, la Savoie compensait la perte de l'Alsace-Lorraine, dans le bilan du règne de Napoléon III.
    D'autre part, si l'on considère l'intérêt de Taine pour les lettres et la peinture, il est particulièrement intéressant. Avec Taine et Renan, la philosophie française s'est esthétisée pour longtemps. Et il y avait sûrement l'influence de l'esprit décadent de la fin du siècle, qui esthétisait tout.
    Taine était en principe positiviste et scientiste, mais il est peut-être inclassable. Ou plutôt, on le classe en fonction de l'air du temps. Comme Peirce est à la mode, des chercheurs ont relevé l'importance cognitive des images dans "De l'intelligence" de Taine, et ils ont fait de lui un pragmatiste !
    Taine a influencé Zola, quand il a entrepris les Rougon-Macquart. Il y aura ensuite d'autres sagas familiales, avec les Pasquier, les Thibault, ou les Roquevillard d'Henry Bordeaux. En Allemagne, Thomas Mann écrira "Les Buddenbrook". L'influence naturaliste sera plus marquée chez son frère Heinrich Mann.
    Chez nous, dans le genre du roman patrimonial, il y a eu "Les Destinées sentimentales" de Jacques Chardonne, qui racontait l'histoire de la dynastie porcelainière des Haviland, à laquelle il appartenait.
    Si l'on revient à la philosophie française, un Corpus des oeuvres de Philosophie en langue française a été dirigé par Michel Serres. Mais dans son Éloge, ce qu'il dit des philosophes français pourrait aussi s'appliquer à d'autres philosophes.

    RépondreSupprimer
  14. J'aimais monter sur l'estrade du théâtre d'Orléans pour y recevoir des peanuts. Mais pourtant quand , en 68 on supprima les prix pour cause d'égalitarisme, j'écrasai un sanglot: j'avais fait des efforts, certes inutiles, pour me distinguer et j'étais péniblement parvenu à être une fois Prix d'honneur, à l'arraché. Plus tard on me présenta au concours général, et j'échouai lamentablement. Je n'eus qu'une fois le prix d'excellence, plus tard, et quasiment in petto, dans le lycée Henri IV, où il fallait à l'époque raser les murs pour aller recevoir des récompenses scolaires que les syndicats enseignants et étudiants refusaient. J'en profite pour évoquer la figure du surveillant général de ce lycée, le formidable et si sympathique M. Thébaud. Il avait consacré sa vie au Lycée, et considérait le mérite scolaire comme le sien propre. Des maîtres comme lui ont disparu, mais il doit en rester quelques uns.

    A part cela , je ne saisis pas en quoi la théorie des images de Taine, toute issue de Stuart Mill, serai proche du pragmatisme. Mais il est vrai que ce label est devenu "du grand n'importe quoi".

    Quant à Serres je vous renvoie à l'article d'un de mes amis

    https://docs.google.com/viewer?a=v&pid=sites&srcid=ZGVmYXVsdGRvbWFpbnxwYXNjYWxlbmdlbGVoZXNzZnJ8Z3g6NmQ0YTRmZDgxY2UxMWIwYg

    RépondreSupprimer
  15. L'entreprise du Corpus placée sous le patronage de Michel Serres est néanmoins fort intéressante. Mais ses auteurs oubliés ont-ils seulement diffusé ou dit à leur manière des idées que les grands auteurs ont su exprimer mille fois mieux qu'eux ?
    Dans ses livres, Michel Serres a fait une synthèse des lettres et des sciences. A mon avis, la synthèse de la science et de la religion est beaucoup plus passionnante. Ce fut l'œuvre de Renan et Georges Sorel était aussi préoccupé de mettre d'accord la foi et la science, puisqu'il écrivit à ce sujet une lettre célèbre à Mgr Dupanloup en 1872.
    La Gnose de Princeton ira ensuite beaucoup plus loin dans ce sens.

    RépondreSupprimer
  16. "patronage" est le mot, comme on parlait de pieces de theatre de patronage.
    synthese de science de religion?
    autant parler du monstre du loch ness

    RépondreSupprimer